LA CHUTE DE LA MAISON
D’après des motifs d’Edgar Allan Poe, de Franz Schubert et de Robert Schumann.
Dans un hôpital parisien au début du XXe siècle, une femme morte des suites de ses blessures causée par une chute de cheval se réveille à la morgue trois jours après avoir y été envoyée.
Le personnel médical ne pouvant trancher entre l’erreur qu’ils auraient pu commettre et le miracle décident de la garder en observation et de lui jouer le royaume des morts.
La chute de la maison c’est celle de la « maison hôpital ». C’est aussi celle de la « maison intérieure », celle des gens qui font face à l’existence irrationnelle de cette femme.
durée : 2h
Distribution / Production
Mise en scène et écriture : Samuel Achache et Jeanne Candel
Assistante à la mise en scène : Carla Bouis
Avec : Margot Alexandre, Adrien Bromberger, Chloé Giraud, Louise Guillaume, Julie Hega, Jean Hostache, Hatice Özer, Antoine Sarrazin, Vladimir Seguin, Antonin Tri-Hoang
Direction musicale : Florent Hubert
Chef de chant : Nicolas Chesneau
Regard scénographique : Lisa Navarro
Costumes : Pauline Kieffer
Lumières : Florian Gaillochon / César Godefroy
Régie générale : Nicolas Prosper
Collaboration artistique : Victor Assié
Coproduction : Association artistique de l’Adami ; Festival d’Automne à Paris // En collaboration avec le CDC Atelier de Paris / Centre de développement chorégraphique national et la vie brève
Création : Ateliers de Paris - Carolyn Carlson avec le Festival d'Automne à Paris / Paroles d'acteurs - octobre 2017
Presse
Dans une réjouissante pagaille très organisée, qui débouche sur une mise en abyme carnavalesque. Après une réunion qui vire à la chamaillerie, une décision est prise : pour la rapatrier dans l’au-delà, une représentation du Royaume des Morts sera donnée à la facétieuse Louise Guillaume. La comédie porte ainsi une réflexion sur l’espace théâtral, sur les rencontres improbables qu’il permet. Non laisser place à une certaine mélancolie, à une profondeur qui se déploie en même temps que les rires, en eux.
sceneweb
Jeanne Candel et Samuel Achache sont de formidables passeurs c’est évident et les dix sur le plateau, traversés de cette expérience, offrent au public, outre leur générosité et leur énergie, quelque chose d’indicible, du mystère de l’acteur, une transfiguration de son être.
un fauteuil pour l'orchestre
Une rêverie romantique et fantastique, au plus près de l’être. Véritable invitation au voyage intérieur, la création incite à l’introspection. Le spectateur proche du plateau explore un espace intime, frôlements, voix et rêves.
Véronique Hotte – hotellotheatre – octobre 2017
Tournée
Dates passées


